PS : Cette recherche artistique sur l'espace-temps ci-dessous que je mène depuis les années 80 a été plagié, copié ou imité par un artiste étranger qui expose en France et à l'étranger. No Comment !
Art et sciences ou art science.
L'espace source supplante l'espace-temps, art contre la physique, une nouvelle relativité ?
Cet article déjà publié le 27 juin 2009 a été modifié, puis remodifie le 13 juillet 2012. Un article qui aborde la métamorphose de l’espace source, l’évolution de l’espace temps, des formes potentielles, des formes latentes. Vous trouverez ci-dessous, un diagramme qui innove le concept d’espace-temps au profit de l’espace-source et qui redessine une nouvelle relativité.
Est-ce une théorie qui relève uniquement de l’esthétique ou peut-elle s’adresser à un champ plus large et notamment celui de la science et de la physique, de la relativité ? J’avoue que je n’ai pas la réponse, je ne suis pas un scientifique. Cette étude ne relève pas d’une étude scientifique, on dit "art et sciences", "art science" et non pas les "sciences de l’art", l’art n’est pas une science.
Vous trouverez une approche différente de la science et de la physique sur la lumière, sur la notion d’espace-temps, puisque à mes yeux il n’existe pas de temps dans l’absolu ni de temps relatif mais uniquement un temps surdéterminé (TS). Vous trouverez une autre approche du passé, présent et du futur, la notion de plan originel si cher à Kandinsky mais ici qui relève d’un plan - espace – source- dynamique.
D’anneaux de lumière résultant d’un amalgame inertiel. Succédant à la deuxième et la troisième dimension, une dimension intermédiaire le rapport 2,5D, la dimension de la lumière ou de l'énergie noire. Les champs du ailleurs bouleversent le concept d’ailleurs dans le cône de lumière de Hermann Minkowski (mathématicien et physicien théoricien allemand). Mon cône n’a pas la forme du sablier d'Hermann Minkowski car le temps est surdéterminé (TS) et donc il n’est représenté que par un simple cône. A mes yeux, la lumière est comme l'énergie noire dans un rapport 2,5 ou la position intermédiaire entre la deuxième et la troisième dimension (2,5D). Le cône est un cône d’énergie dans un rapport interiel entre le matière et l'énergie noire. Ces modifications de perceptions de la représentation délaissent la notion d’espace-temps tel qu’il est défini par la science et la physique au profit d’un espace-source. Ces théories modifie par exemple les travaux du « Philosophe », Paul Virilio, car elle réfute la notion de temps et donc obligatoirement celui de l’instantanée, d’une dictature du présent ou d’une théorie de la catastrophe.
Les deux derniers diagrammes expliquent que les formes potentielles sont issues des formes latentes associées à la notion de perte, que cette dictature du présent est altérée de fait par le cône d’énergie qui engendre les formes potentielles et la représentation de l’ « ailleurs ». Il n’y a pas de notion d’instantané, mais une métamorphose des configurations du latent qui dans son évolution est synonyme d’une dévaluation résultante de cette notion de perte qui féconde les potentialités du singulier ou d'un ailleurs.
Ci-dessus, mes recherches sont sur l’espace-source, l’espace-temps, la lumière et l'énergie noire. En art et surtout dans la peinture on peut parler d’espace-lumière. Des questions plus que des réponses ! Mais qu'est-ce que l'énergie noire pour un artiste ? Quelle est sa place dans le système de la représentation, a-t-elle une pace ? A-t-elle une incidence dans les modes de représentation dans l'art puis dans l'art contemporain ?
Ces recherches s’inscrivent dans une longue tradition chez les artistes peintres à travers toute l’histoire de l’art. Cette étude que je mène depuis plus de 25 ans, à Lyon, puis Paris, Bordeaux et aujourd'hui dans le Languedoc Roussillon découle certainement des travaux de Diego Velasquez dans les Ménines et de travaux plus contemporains comme ceux du peintre américain Frank Stella. Aujourd’hui mon travail croise celui de la science, peut-être de la physique, dans cette mouvance "arts et sciences" ou "art science", mais il ne fait que de « croiser » la science. Les scientifiques recherchent des nouveaux systèmes de représentation alors que nous artistes bien modestement recherchons uniquement de nouvelles figures de la représentation. J’ai fondé il y a trois ans un mouvement artistique « la Nouvelle relativité », cette étude en est le miroir.
Au départ dans les années 80, j’ai recherché une figure intermédiaire entre la peinture et la sculpture, ou une figure réunissant les valeurs intrinsèques de la peinture et de la sculpture. Mes premières installations « en strates » m’ont éconduit à réfléchir sur la lumière, son implication et sa réelle fonction dans l’histoire de la création picturale et sculpturale. De fait mes recherches m’ont renvoyé à la bidimensionnalité et la tridimensionnalité. Au début des années 90, j’ai compris que seul un cône de lumière avait ce potentiel intermédiaire. Cette déduction m’a rapproché de la physique.
Ces dernières années, j’ai compris que mes recherches ne pouvaient avancer que si je repositionnais l’art dans de nouvelles perspectives esthétiques et plastiques. Redéfinir une nouvelle introduction à l’art non pas comme un critique ou un historien mais comme un artiste en quête de nouveaux outils. Je n’ai pas fait table rase de tout ce que j’avais appris ou pu constater car je trouve la notion de rupture dans certaines avant-gardes totalement suffisante, débile, surannée, une vue de l’esprit qui frise le puritanisme. Donc ces 5 dernières années, j’ai résumé les grandes familles de la création des arts plastiques en deux grandes familles ayant deux objectifs : le recherche sur les figures latentes et la recherche sur les figures potentielles, sachant que certaines œuvres sont le fruit de ces deux types de recherches, comme par exemple pour la plus récente « Guernica » de Pablo Picasso.
J’ai du diversifier ma propre pratique artistique, c'est-à-dire mener plusieurs pratiques de front et pour certaines revenir à des formes plus classiques comme le modelage, la peinture en parallèle à mes propres recherches. Comprendre ce que sont ces formes latentes et quelles étaient leurs véritables places dans l’échiquier de la représentation et par sa pratique rechercher ses évidences implicites, d’où, l’ethnologie de l’insignifiant. « Défaire le pli, déplier, c’est déplier ce qui est impliqué en lui, l’en extraire par ce qu’on nomme justement une ex-plication. » mais comme le souligne Henri Maldiney dans art et existence: « Mais aucune création ne se comprend de cette manière ». Alors j’ai refait les gestes essentiels, plier la terre, la déplier, la modeler, la remodeler, représenter pour comprendre ce qui était impliqué dans ces gestes si traditionnels hérités de milliers d’années de pratique, pour fouiller cette ex-plication dans cette im-plication, le pli des origines.
lili-oto
1ere photo : mes cônes de lumière (à droite lili-oto)
2eme photo: cône d'énergie ou cône inertiel
3eme photo : espace - plan - source
4eme photo : théorie sur l'espace-source, temps surdéterminé qui réfute l'espace-temps
un autre point de vue que la physique et le cône de lumière du physicien et mathématicien Minkowski:
L'espace-source selon Lili-oto
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