Installations artistiques art contemporain, arts visuels et création contemporaine qui couvrent les années 80 à 2010.
Des installations artistiques qui couvrent une multitude de techniques, art vidéo , art végétal, biotope virtuel, modelage, art végétal avec de l'osier + fil d'Écosse, polycarbonates, filet d'oiseaux, plâtre, art numérique, web art et qui sont structurées avec la lumière avec des installations artistiques en intérieur ou en extérieur à Paris, Lyon, Bordeaux, Bègles, Alet les bains, Bergerac, Avignon (festival), Montreuil 93, Salses le château 66, Quillan 11,etc. Ces installations n'ont jamais été financées, elles n'ont jamais été subventionnées ou aidées par le ministère de la culture, les collectivités territoriales, régionales, municipales. Lili-oto en 30 ans d'activité artistique a eu en tout et pour tout comme subvention 400€ d'aide d'urgence début 1990 par la Drac Rhône Alpes à Lyon lorsqu'il avait demandé des aides pour payer le fret pour envoyer ses sculptures aux États Unis à New York car des galeries américaines étaient intéressées par son travail. Les sculptures n'ont pas pu être envoyées car il n'a pas réussi à touver les fonds nécessaires pour payer le fret aérien. Lili-oto dénonce l'attitude scandaleuse des institutions artistiques françaises qui font par ce système d'artistes institutionnels ou institués une concurrence déloyale aux artistes qui ne sont pas dans leurs petits souliers et qui rejettent ce système bureaucratique à la française abjecte. Lili-oto dénonce l'attitude scandaleuse des institutions artistiques françaises qui aspirent les subventions pour leur budget de fonctionnement et salaires. En réalité très peu d'argent en France va dans la poche des artistes plasticiens en France pour leur création, ces artistes sont une véritable vache à lait pour tout ce petit milieu de fonctionnaires de l'art, commissaires d'exposition, de galeristes, de critiques et de salariés d'associations culturelles qui vivent sur le dos. A l'étranger, depuis plus de 20 ans, malgré les mensonges dans la presse et les gouvernements successifs ces artistes français institutionnels ou institués par l'argent public sont souvent rejetés et méprisés par la communauté artistique internationale. Tout le monde sait à l'étranger que 90% de ces artistes français institués par les représentants culturels de l'état n'existent que par ces subventions publiques et surtout politiques et qu'ils n'existeraient pas sur la scène française sans cette manne financière publique comme nous nous existons sans aides et subventions. Ces artistes officiels n'ont aucune conscience politique, aucune éthique ou conscience de classe, des arrivistes obsédés par leur égo, soumis à la servitude volontaire comme des petits caniches obéissants, des "lumpenartist" comme fut le "lumpenproletariat". Aujourd'hui avec la crise c'est un véritable bras de fer qui s'engage avec ces artistes institués et les responsables des institutions Frac, Drac, musées d'art contemporain qui se sont imbriqués dans le marché véreux et mafieux de l'art contemporain. Il est clair que l'état français (Sarkozy et son gouvernement), le ministère de la culture et les régions (dont 21 au PS, parti socialiste) veulent la peau des artistes non institués qui sont plutôt de gauche et dont certains s'opposent frontalement à ce capitalisme financier autoritaire voir totalitaire, à cette mondialisation mafieuse qui plonge les populations dans la misère. L'enjeu politique et culturel en France est simple, c'est l'élimination culturelle et artistique systématique de toute forme d'opposition politique aux intérêts juteux et mafieux de l'industrie et de la finance internationale dont les grands collectionneurs d'art font partie. Les artistes ne sont bien sûr qu'un maillon de cette opposition politique dans la population française, une opposition qui augmente de jours en jours contre les politiciens français véreux servant les intérêts de cette junte mondiale, financière, industrielle et bancaire. Toutes ces installations artistiques en photo ci-dessous sont bien sûr l'expression d'une activité artistique qui a souffert de manque de moyens, elles n'ont jamais été financées. On ne vend pas ce genre artistique, y a pas de caddie dans les expositions comme dans les magasins de bricolage! Voilà pourquoi l'obtention des droits de présentation ou de monstration pour l'artiste plasticien est vital pour sa survie sociale et artistique, un dû prévu par la loi et le code de la propriété intellectuelle que l'on refuse de nous payer aussi bien à droite qu'à gauche car il renforcerait notre indépendance! Des droits de monstration que les institutions françaises n'oublient pas de payer par contre lors des grandes expositions aux artistes étrangers qui trônent en haut de l'échiquier de la palette internationale du marché de l'art contemporain au sommet de cotations fabriquées de toute pièce par des délits d'initiés avec des ententes illicites entre grands galeristes, collectionneurs, critiques d'art, historiens d'art, commissaires d'exposition, conservateurs d'art et ces artistes dits internationaux. Les artistes plasticiens en France ne trouvent aujourd'hui plus de lieux d'exposition, nous avons l'impression de vivre de nouveau sous l'occupation d'une dictature, d'un régime totalitaire car l'état, les régions, les départements, les villes ou les communes ont raflés tous les espaces et s'autodistribuent toutes les finances publiques et tout le mécènat privé dans le secteur des arts plastiques. une politique culturelle clientéliste. Nous subissons en plus de véritables provocations et humiliations, la France ne sera bientôt plus qu'un immense musée d'état pour touriste étranger et notre création artistique contemporaine comme la créativité humaine de l'ensemble de la population ne seront qu'un gadget d'ornement pour en remplir ses salles d'exposition, un truc de mort-vivant. Ces fous tuent la vie, nos vies et notre créativité avec notre propre pognon. Le parti d'en rire face au parti pris des ringards, tout un programme politique !
Cliquez sur la photo pour l'ouvrir dans un format plus grand dans une autre fenêtre de votre écran.