L'art politique est une nécéssité historique, face à la globalisation d'une prédation mondiale et la montée de l'extrème droite alimentée par les injustices sociales, culturelles et artistiques orchestrées par le parti socialiste et les conservateurs de droite
On ne peut dire que non à cette mondialisation qui se résume en une globalisation économique hégémonique d'un capitalisme ultra libéral ou néo libéral, un capitalisme sauvage qui remplit les comptes des gros actionnaires, des ultras riches dans des paradis fiscaux.
Comment voulez-vous accepter ce deal scandaleux qui paupérise et plonge les populations dans la misère. Etre artiste c'est réagir à toutes ces injustices sociales et économiques. Etre artiste c'est réagir à l'administration culturelle française qui revendique et nourrit cette globalisation des injustices et sa mondialisation avec son ministère de la culture, Frac, Drac, Cnap, musée d'art contemporain. Etre artiste c'est réagir à la direction générale de la mondialisation qui est responsable et développe l’action culturelle et artistique à l'étranger où toutes ces administrations, Drac, Frac, musées d'art contemporain sont imbriquées.
Ceci explique pourquoi depuis des années les artistes de gauche qui refuse cet ultra capitalisme qui nous spolie et vole nos biens publics et partagés sont interdits d'exposition dans tous ces espaces publics d'exposition dans ce dit art contemporain et ne sont pas achetés dans les collections publiques, ne sont pas aidés financièrement . Vous ne pouvez pas accepter que la biennale d'art contemporain de Lyon, représentation française de ce dit art contemporain défende haut et fort par la bouche de son soi disant directeur artistique et directeur du musée d'art contemporain de Lyon comme dans sa présentation de la biennale 2007 avec un texte signé de lui-même qui encense et loue louange à cette mondialisation qui s'inscrit dans cette politique culturelle élaborée par cette direction générale de la mondialisation du gouvernement Sarkozy.
Le budget de la biennale de Lyon est de 7 millions d'euros dont 600 000 euros rien que pour son budget de communication (ou de propagande!) pendant que les artistes en France crèvent, ne trouvent plus de lieu pour exposer, ne trouvent plus d'atelier, c'est une véritable dictature. La dictature de l'argent roi avec l'argent du contribuable français balancé par les fenètres afin d'écraser les nouvelles émergences artistiques en France qui s'opposent à cette mondialisation et les spéculations véreuses et mafieuses de prédateurs financiers et industriels. Lili-oto