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les Frac dits fonds régional d'art contemporain sont les fonds régionaux d'art contemporain, les Frac existent dans chaque région conjuguant expositions et collections (achats d'œuvres d'art d'artistes contemporains). ces institutions culturelles mènent une action culturelle indigne d'une civilisation moderne où seul le clientélisme et le copinage règnent. Associations d'utilité publique financées par les régions, elles sont le chancre de l'injustice sociale et artistique. Un véritable furoncle dans la bonne marche de la créativité humaine et de la création contemporaine, un furoncle voulu politiquement par les présidents et présidentes de Conseils Régionaux à 90% de gauche (parti socialiste) pour diviser la communauté artistique. Un furoncle politiquement programmé et nécessaire pour asservir et assujettir les artistes créateurs auteurs dans les arts visuels et les arts plastiques ou dans le dit art contemporain. Ces institutions violent les principes éthiques et humanistes fondamentaux et directeurs de la communauté internationale en cachant au peuple français les véritables objectifs de ces associations qui n'ont de cœur et de visée que pour la bulle financière  internationale juteuse et véreuse de l'art contemporain au mépris de la création artistique et de ses nouvelles émergences artistiques (ces spéculations honteuses ont explosé et implosé en 2008). Ce petit milieu de l'art contemporain véreux institutionnel avec la complicité des élus français martyrisent la communauté artistique française dont 95% des artistes vivent dans des conditions indignes d'un pays riche. Ce sont de véritables provocations que subissent ces artistes en France qui voient des évènements publics riches à dizaines de millions d'euros neutralisant avec ces millions d'euros de communication tout l'espace médiatique, presse, revues d'art afin de taire au public ses magouilles, ses conflits d'intérêts, ses conflits d'initiés tout en discréditant en rejetant au nom d'un élistisme débile et mensonger 98% de la communauté artistique vivant en France. Voici des extraits de conventions internationales dictées par la communauté internationale que ces bourreaux violent... C'est notre liberté de création, notre création artistique, notre créativité humaine qu'ils assassinent au nom de ce nouvel ordre mondial qui veut faire de nous tous, une humanité sans elle... Aujourd'hui la démocratie et la bonne marche de nos civilisations sont en danger par la volonté de dangereux prédateurs de la finance et de l'industrie mondiale où l'art contemporain et ses margoulins ne sont que de vulgaires pions culturels sur un échiquier miné où flotte le spectre politique certainement d'un post-fascisme à venir. Comme avec futurisme italien (mouvement artistique) sous Mussolini, (d'ailleurs la France ressemble beaucoup aujourd'hui à ses films qui caricaturent l'Italie de Mussolini), nous assistons et ce depuis trois décennies à un art contemporain éclectique se jetant tout droit dans la gueule du monstre dont le seul fil conducteur est l'opportunisme individuel et la servilité. Les artistes initiés institués ou institutionnels sont les templiers culturels modernes du dogme de ce nouvel ordre économique mondial. Nous assistons avec le mouvement artistique du Néo pop avec jeff Koons en tête à un renoncement total face à cette caste d'industriels et de financiers comme les artistes sous l'emprise de la bourgeoisie pendant la renaissance. L'art n'a jamais eu pour rôle de soutenir les pouvoirs, son univers singulier lui offre la possibilité d'ouvrir d'autres portes que celles d'horizons mesquins de pouvoirs abscons. Les artistes ont été amené durant toute leur histoire de l'art perpétuellement à défendre leurs libertés de création face aux commanditaires; religions, pouvoirs, bourgeoisie, bureaucratie, fascisme, stalinisme, maoïsme (...) comme Bourdieu l'explique. Je suis solidaire avec les ouvriers ou les salariés licenciés qui doivent aussi se défendre face à des prédateurs et qui ont une histoire similaire, celle de la défense de ses intérêts de classe puisque jamais on nous a fait autant sentir ces dernières années et surtout avec Sarkozy qu'il y a une classe d'intouchables gavée de richesse au dessus des intérêts collectifs et qui n'a que mépris pour nos peuples. Je ne milite pas comme jeff Koons (artiste américain d'une droite ultra libérale) qui clame haut et fort sa servilité, sa complaisance pour tous ces industriels collectionneurs d'art. Je n'ai certainement pas envie comme l'institution culturelle française dans les petits souliers de Jeff Koons de partager ma table avec ces requins de la finance sans scrupule qui sèment la misère sur toute la planète, quelle honte !

 

Texte mis en entête sur les Apea : http://apea.over-blog.net/

Extrait du livre de Pierre Bourdieu (philosophe) dans Contre-feux 2 aux éditions Raisons d’agir

"(…) La culture est menacée parce que les conditions économiques et sociales dans lesquelles elle peut se développer sont profondément affectés par la logique du profit dans les pays avancés où le capital accumulé, condition de l’autonomie, est déjà important (…) Les peintres (artistes) ont mis prés de cinq siècles pour conquérir les conditions sociales qui ont rendu possible un Picasso ; ils ont dû – on le sait par la lecture des contrats – lutter contre les commanditaires pour que les œuvres cessent d’être traitées comme un simple produit, évaluées à la surface peinte et aux prix des couleurs employées ; ils ont dû lutter pour obtenir le droit à la signature, c'est-à-dire le droit d’être traité comme des auteurs. Ils ont dû lutter pour le droit de choisir les couleurs qu’ils employaient, la manière de les employer et même, tout à la fin, notamment avec l’art abstrait, le sujet même, sur lequel pesait particulièrement le pouvoir du commanditaire. (…)" Pierre Bourdieu!



Il résulte que les frac violent en permanence les principes directeurs des recommandations relatives à la condition de l'artiste signés par la France en 1980 et d'autres conventions internationales édictées par la communauté internationale. La conception institutionnelle d'artistes initiés, d'artistes institutionnels, d'artistes institués, d'artistes dits professionnels institutionnels, et la reconnaissance institutionnelle basée sur un label d'artistes dit subventionnés et le rejet d'artistes dits non subventionnés sont un viol des déclarations des droits de l'homme.

"Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent".


     Et un viol de ces recommandations dans son champ d'application :

"la présente recommandation s'applique à tous les artistes définis au paragraphe I.1, quelle que soit la discipline ou la forme d'art que ces artistes pratiquent."

    la France n'est plus le pays des droits de l'homme et la mise en place des politiques culturelles et artistiques depuis trente ans y ont largement contribuer. La mise en place des Frac, Drac, musées d'art contemporain a été structuré sur une violation des principes directeurs de la création contemporaine et de ses libertés nécessaires à sa bonne marche. Ces institutions se sont transformés au fil des années en France en un véritable lobby qui a généré des injustices sociales et artistiques flagrantes chez les artistes, ont violé tout principe d'équité, ont favorisé la transformation des œuvres d'art en de simple bien marchandisé malgré les mensonges contre les orientations des textes des conventions internationales. Ce lobby institutionnel a organisé avec la complicité des élus la faillite de sa mission publique avec la complicité des élus de droite comme de gauche qui ont développé dans la communauté artistique une concurrence déloyale entre les artistes grâce aux aides publiques et aux expositions publiques édictées par un clientélisme notoire, le copinage et l'appartenance à des réseaux d'influences, des réseaux politiques ou une appartenance de classe.

    Aujourd'hui, au vu du nombre d'artistes au Rsa, au vu d'artistes privés d'exposition malgré un talent notoire, au vu d'artistes interdits d'exposition en raison de leurs idées politique d'ailleurs souvent de gauche et refusant cette idée de nouvel ordre mondial et contestant le marché international véreux de l'art contemporain et sa bulle financière spéculative et juteuse, au vu de l'exclusion d'artistes considérés comme promoteur d'un art actuel ou des arts singuliers et non d'un "art dit contemporain" (un concept uniquement marchand "confus"), le lobby institutionnel a violé les principes directeurs énoncés ci-dessous et ses dirigeants doivent être condamnés et doivent rendre des comptes à la population française et internationale en raison de leurs comportements odieux, cruels, monstrueux, inhumains vis à vis de la communauté artistique française et de ses artistes créateurs auteurs dans les arts visuels ou les arts plastiques en son ensemble. Viol de ces textes :
   
Reconnaissant que, dans leur acception la plus complète et la plus large, les arts font et doivent faire partie intégrante de la vie et qu'il est nécessaire et approprié que les gouvernements contribuent à instituer et à maintenir non seulement un climat propice à la liberté d'expression artistique, mais aussi les conditions matérielles facilitant l'expression de ce talent créateur,

Considérant que l'artiste joue un rôle important dans la vie et l'évolution de la société et qu'il devrait avoir la possibilité de contribuer à son développement et d'exercer, au même titre que tous les autres citoyens, ses responsabilités, tout en préservant son inspiration créatrice et sa liberté d'expression,

    Ce qui suit se passe de tout commentaire:

Reconnaissant que la vigueur et la vitalité des arts dépendent notamment du bien-être des artistes en tant qu'individus et en tant que collectivité,

    Violation en raison du concept institutionnel d'artistes dit initiés institués ou institutionnels comme critère de sélection:
Considérant en outre que la qualité de travailleur culturel qui est reconnue à l'artiste ne doit porter aucune atteinte à sa liberté de création, d'expression et de communication et doit, au contraire, lui assurer sa dignité et son intégrité,

    les institutions ont été construites sans l'avis des artistes
Considérant que l'expression artistique actuelle se- manifeste dans les espaces publics et que ceux-ci devraient être aménagés en tenant compte de l'avis des artistes concernés, Considérant en conséquence qu'une étroite collaboration entre architectes, maîtres d’œuvre et artistes devrait être réalisée afin de définir une esthétique de la rue qui réponde aux exigences de communication et contribue efficacement à établir de nouvelles et réelles relations entre le public et son cadre de vie,

    Violation de la définition d'artiste par les dirigeants des institutions en France en instituant des critères corporatistes et sectaires sur des fondements aléatoires et équivoques afin de déstabiliser et diviser la communauté artistique entre des artistes heureux élus initié et des artistes renégats. Ils ont violé ce qui suit :

I. Définitions
1. On entend par « artiste » toute personne qui, crée ou participe par son interprétation à la création ou à la recréation d’œuvres d'art, qui considère sa création artistique comme un élément essentiel de sa vie, qui ainsi contribue au développement de l'art et de la culture, et qui est reconnue ou cherche à être reconnue, en tant qu'artiste, qu'elle soit liée ou non par une relation de travail ou d'association quelconque.

III. Principes directeurs

3.    Les États membres, reconnaissant le rôle essentiel de l'art dans la vie et le développement de la personne et de la société, se doivent en conséquence de protéger, défendre et aider les artistes et leur liberté de création. A cet effet, ils prendront toute mesure utile pour stimuler la création artistique et l'éclosion des talents, notamment par l'adoption de mesures susceptibles d'assurer la liberté de l'artiste, faute de quoi celui-ci ne saurait répondre à sa mission, et de renforcer son statut par la reconnaissance de son droit de jouir du fruit de son travail. Ils s'efforceront par toutes mesures appropriées d'augmenter la participation de l'artiste aux décisions concernant la qualité de la vie. Par tous les moyens dont ils disposent, les États membres devraient démontrer et confirmer que les activités artistiques ont un rôle à jouer dans l'effort de développement global des nations pour constituer une société plus humaine et plus juste et pour parvenir à une vie en commun pacifiée et spirituellement dense.

   
    L'art est un espace de liberté qui offre à l'homme grâce à son talent une équité de traitement et des horizons ouverts et non clos comme dans la musique et notamment le rap avec les jeunes des cités défavorisées qui n'a pas d'équivalent dans l'art contemporain en raison de la main mise sur les principaux espaces de diffusion artistique par ce lobby institutionnel sectaire avec la complicité des élus français de droite et de gauche; ils ont voilé les principes édictés ci-dessous:

8. Les États membres devraient faire en sorte que toute personne, sans distinction de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de condition économique ou de naissance, jouisse de la même possibilité d'acquérir et de développer la formation nécessaire à l'épanouissement et à l'exercice de ses talents artistiques, ainsi que d'obtenir un emploi et d'exercer sa profession sans discrimination.


    Des artistes au Rmi ou rsa ont été menacé par des acteurs des réseaux d'aides sociales et traités de parasites de la société, d'éléments asociaux ou marginaux. Des chantages ont été exercés sur ces artistes en les menaçant de leur couper le minimum vital alors que se sont les élus français eux-mêmes par la mise en place de ce lobby institutionnel qui ont fermé les espaces de monstration ou d'exposition, les circuits d'aides aux plus grands nombres en raison d'un clientélisme avéré. Ces élus sont coupables d'avoir organiser froidement cette exclusion sociale et artistique afin de favoriser des artistes à leurs bottes. Ils ont violé ce qui suit :

Annexe A. Déclaration universelle des droits de l'homme
Article 27
1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.

    Et par l'autodestruction du patrimoine individuel artistique que chaque artiste doit faire face car il n'a pas les moyens de stocker en zone urbaine sa création en raison de sa pauvreté et de sa précarité, ses principes fondamentaux sont violés:

2.    Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

    Et ses principes fondamentaux sont violés en France depuis trop longtemps dans l'impunité la plus totale dans cet art dit contemporain qui éconduit un très grand nombre d'artistes talentueux à se satisfaire d'un quotidien fait d'humiliations, de privations, d'un renoncement à mener à bien son activité dans la dignité. Des bourreaux, élus et dirigeants institutionnels, en France se cachent derrière des alibis fallacieux de budget ou d'érudition, derrière des valeurs faussement humanistes ou des valeurs politiques hâbleuses ou derrière une lâcheté corporatiste sans nom et martyrisent une grande partie de la communauté artistique française en la privant sciemment de toute forme de futur et d'avenir, d'accession naturelle aux espaces publics d'exposition tout en renforçant l'inaccessibilité dans le privé à des ateliers ou de petits espaces de monstration.

B. Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels

1. Les mesures que chacun des États parties au présent Pacte prendra en vue d'assurer le plein exercice de ce droit doivent inclure l'orientation et la formation techniques et professionnelles, l'élaboration de programmes, de politiques et de techniques propres à assurer un développement économique, social et culturel constant et un plein emploi productif dans des conditions qui sauvegardent aux individus la jouissance des libertés politiques et économiques fondamentales. Article 15 1. Les États parties au présent Pacte reconnaissent à chacun le droit:

(a) De participer à la vie culturelle;
 
2. Les mesures que les États parties au présent Pacte prendront en vue d'assurer le plein exercice de ce droit devront comprendre celles qui sont nécessaires pour assurer le maintien, le développement et la diffusion de la science et de la culture.

3. Les États parties au présent Pacte s'engagent à respecter la liberté indispensable à la recherche scientifique et aux activités créatrices.

4. Les États parties au présent Pacte reconnaissent les bienfaits qui doivent résulter de l'encouragement et du développement de la coopération et des contacts internationaux dans le domaine de la science et de la culture.

 

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¤retour/home

Tag(s) : #art contemporain
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